Et voilà ! Encore une année qui vient de se terminer. 2010 sera passée à une vitesse folle, tout particulièrement ces derniers mois qui auront été remplis de changements (fin des études, déménagement, premier emploi…), qui sont à la source de la pénurie d’articles sur ce blog ! Ma bonne résolution pour cette année sera donc de parvenir à alimenter ce blog régulièrement. J’espère que j’arriverai à la tenir car je me passerai bien de faire le lamentable bilan des bonnes résolutions de 2010 !

Pour ne pas m’attarder sur ce triste bilan, je vais maintenant passer aux traditionnels vœux. Chaque année c’est la même chose, on se souhaite le meilleur : la santé, la réussite, l’amour… l’argent. Au fond, tout ce que l’on recherche tient en un petit mot : “Bonheur”, ce qui me fait penser à un extrait du livre éponyme de Philippe Delerm :

“Je suis heureux. Est-ce que ça va durer ? Voilà le sujet de ce livre. Ce sera un thriller, le plus authentique du siècle. Je suis cerné de toutes parts, et jusqu’au fond de mon terrier. Sur chaque page va planer une menace de mort ou de cancer, d’accident de voiture, de mal de vivre, simplement. Mais je suis fort, j’ai plein de munitions, je vous en parlerai. Si la menace se précise, vous la vivrez au cœur de mon sang, de mon encre. Si j’en réchappe, nous partagerons le butin. Peut-être.”

Car oui, on sait très bien que ces vœux ne pourront pas faire grand chose. 2011 comme toutes les années précédentes aura son lot de mauvaises surprises que les vœux ne pourront pas dissiper. Tout le monde le sait mais pourtant on continue, d’année en année à nous souhaiter le meilleur, pour faire le plein de ces munitions dont nous parle Delerm. Alors pour 2011, je vais tout simplement vous souhaiter d’être en forme dans un an, pour partager de butin récolté (notamment d’un point de vue littéraire), en espérant qu’il soit le plus grand possible !